Depuis plus de 5 ans l'enseignement du créole au Lycée Hôtelier est une réelle réussite et pourtant chaque année cette option est remise en cause.
Aujourd’hui elle représente 12 heures par semaine pour 110 élèves, ce qui constitue un bel exemple pour notre académie qui prône l’enseignement de la langue régionale.
L’évènement survenu le 24 février n’est hélas qu’un épisode de plus dans la vie difficile de cette discipline. Mais cet évènement est d’une gravité sans précédent.
Rappelons les faits : Une stagiaire est nommée au Lycée Hôtelier sous la tutelle d’une professeur titulaire en Créole-Lettres.
Après avoir reçu cette stagiaire (une rencontre qui semble avoir été difficile), le Chef d’établissement décide tout à coup de l'exclure devant les élèves de la salle de classe puis de l’établissement dans des conditions d’énervement et de colère caractérisés, au seul prétexte que cette stagiaire aurait informé son inspection des difficultés rencontrées lors de l’entretien d’installation.
En conséquence, la stagiaire meurtrie par ces préjudices physiques et moraux obtient un arrêt de travail de huit jours, et se voit transférée par le Rectorat dans un autre établissement. Une double peine pour elle puisqu'elle doit maintenant affronter des problèmes de transports en commun majeurs.
La FSU dénonce l’abus de pouvoir caractérisé du Chef d’établissement se permettant à la fois de transgresser des textes officiels dans le déroulement d’un stage, et d’exclure de son établissement, sans justification légale un personnel et qui plus est avec une violence caractérisée.
De plus, ce Chef d’établissement s’est permis de discriminer notre collègue tutrice par voie de presse en la citant nommément et en faisant état d’une personne « à fleur de peau ». Celle-ci pourtant n'a aucune responsabilité dans l'incident dont nous parlons.
A ce jour seul le Chef d’établissement a été entendu par le Rectorat sur cette affaire et aucune suite n'a été donnée !
C’est pourquoi la FSU demande solennellement que cette atteinte patente à l’enseignement d’une stagiaire et au simple droit au Lycée Hôtelier soit sanctionnée comme il se doit, cet incident est extrêmement grave et son traitement doit être exemplaire et non traité par l’oubli et l’usure du temps.
Au delà de cette affaire, nous devons rappeler que les accès d'agressivité sont coutumiers de ce chef d'établissement qui n'a pas hésité par le passé à s'en prendre aussi bien à des enseignants qu'à des élèves ; la FSU est régulièrement destinataire de témoignages -écrits- dont celui de cette maman qui nous raconte que son fils s'est retrouvé exclu manu militari de l'internat du lycée pour avoir exprimé un désaccord avec le chef d'établissement dans un conseil d'administration !
Il est incompréhensible qu'un représentant de l’État puisse en toute impunité s'exonérer du respect de la loi tout en étant coutumier d'accès d'agressivité sans que jamais à aucun moment son administration n'exige de lui qu'il rende des comptes !
Aujourd’hui elle représente 12 heures par semaine pour 110 élèves, ce qui constitue un bel exemple pour notre académie qui prône l’enseignement de la langue régionale.
L’évènement survenu le 24 février n’est hélas qu’un épisode de plus dans la vie difficile de cette discipline. Mais cet évènement est d’une gravité sans précédent.
Rappelons les faits : Une stagiaire est nommée au Lycée Hôtelier sous la tutelle d’une professeur titulaire en Créole-Lettres.
Après avoir reçu cette stagiaire (une rencontre qui semble avoir été difficile), le Chef d’établissement décide tout à coup de l'exclure devant les élèves de la salle de classe puis de l’établissement dans des conditions d’énervement et de colère caractérisés, au seul prétexte que cette stagiaire aurait informé son inspection des difficultés rencontrées lors de l’entretien d’installation.
En conséquence, la stagiaire meurtrie par ces préjudices physiques et moraux obtient un arrêt de travail de huit jours, et se voit transférée par le Rectorat dans un autre établissement. Une double peine pour elle puisqu'elle doit maintenant affronter des problèmes de transports en commun majeurs.
La FSU dénonce l’abus de pouvoir caractérisé du Chef d’établissement se permettant à la fois de transgresser des textes officiels dans le déroulement d’un stage, et d’exclure de son établissement, sans justification légale un personnel et qui plus est avec une violence caractérisée.
De plus, ce Chef d’établissement s’est permis de discriminer notre collègue tutrice par voie de presse en la citant nommément et en faisant état d’une personne « à fleur de peau ». Celle-ci pourtant n'a aucune responsabilité dans l'incident dont nous parlons.
A ce jour seul le Chef d’établissement a été entendu par le Rectorat sur cette affaire et aucune suite n'a été donnée !
C’est pourquoi la FSU demande solennellement que cette atteinte patente à l’enseignement d’une stagiaire et au simple droit au Lycée Hôtelier soit sanctionnée comme il se doit, cet incident est extrêmement grave et son traitement doit être exemplaire et non traité par l’oubli et l’usure du temps.
Au delà de cette affaire, nous devons rappeler que les accès d'agressivité sont coutumiers de ce chef d'établissement qui n'a pas hésité par le passé à s'en prendre aussi bien à des enseignants qu'à des élèves ; la FSU est régulièrement destinataire de témoignages -écrits- dont celui de cette maman qui nous raconte que son fils s'est retrouvé exclu manu militari de l'internat du lycée pour avoir exprimé un désaccord avec le chef d'établissement dans un conseil d'administration !
Il est incompréhensible qu'un représentant de l’État puisse en toute impunité s'exonérer du respect de la loi tout en étant coutumier d'accès d'agressivité sans que jamais à aucun moment son administration n'exige de lui qu'il rende des comptes !